Tourmentes sur le bassin de Massat
La vallée de Massat semble être prisonnière entre le col de port et les gorges de l’Arc, d’est en ouest. Grace à une pluviométrie généreuse, les forêts sont somptueuses.
P. Bergès écrivait en 1839 : “La race d’homme du canton de Massat est la plus belle de l’Ariège… il y reste encore quelque chose de l’ancienne pureté des moeurs pastorales”. Désertées par les paysans dans les années 60, ses montagnes ont attiré les hippies des années 70, qui font place maintenant, au néo-ruraux.