Jean-Pierre fait la grasse matinée
A l’aube on ne voit que ses cornets dépasser une épaisse couettes de nuages protègeant son corps des gélées ossaloises.
Il reste un long moment sous ses couvertures, me privant d’immortaliser sa volupté au lever du soleil. Un soleil éminent dévoile enfin ses galbes.
Il reste un long moment en sous-vétements. Il se lève péniblement vers 10h… mais la lumière est éclatante, eblouissante, aveuglante.