Errances entre Lucgarier et Bordères
Jour de foehn, jour de fête.
Le vent et les nuages dessinent des poèmes dans les cieux.
Des flux célestes tressent des amours vers l’infini.
Tu crois rêver, tout devient possible sous cette douce atmosphère.
Mais c’est juste le caprice d’une passion qui finit toujours par fulminer.
Sous la colère, la fatalité l’emporte et ton mépris est sincère.











