Sous une épaisse forêt vosgienne, le Scouet, affluent de la Moselle par la Vologne, nous offre deux chutes, la grande et la petite cascade de Tendon. Les eaux jaillissent le long d’énormes blocs de granite. Cette atmosphère humide et froide génère une flore surprenante, précieuse, irremplaçable…
Ce lac et ses tourbières est le plus photogénique / photomagique des Vosges. Chaque point de vue est authentique. Un site splendide aux quatre saisons.
Il faut monter haut à La Bresse pour sortir des zones habitées… à partir de la Truche, plus rien n’est constructible… à la limite de la forêt de Noire Goutte, tout devient plus sauvage.
La tête du ruisseau rouge ou roche d’angoisse ? Le Rothenbachkopf se caractérise par un sommet en forme de tête. Selon la lumière, et avec un peu d’imagination on devine les yeux, le nez, la bouche…. Si c’est une ancienne frontière géographique entre l’Alsace et la Lorraine, c’est surtout une remarquable séparation géologique où la chaîne s’est scindée en […]
Le Hohneck culmine sur les hauts de la Bresse à 1363m d’altitude, le plus haut sommet du département des Vosges. J’ai tant rêvé gamin, en regardant les vieilles photos, que l’on reconstruise le tramway qui montait de Gerardmer au Hohneck, via Retournemer et le col de la Schlucht…
Ce lac est une poésie. Les carpes, tanches, gardons, perches et brochets peuvent faire des bulles, ce cratère est un hymne à la nature. La noirceur de ses eaux est effrayante et pourtant si tranquille. Les sapins et les hêtres composent toutes les saisons, avec précision.
Laruns, au pied de la haute vallée d’Ossau, est aux croisées des atmosphères saisonnières. Les courants d’air venus de l’Aubisque et du Pourtalet et du Bas Ossau organisent régulièrement des ballets de singulières nébuleuses.
Entre la réalité et le rêve. Ce site est touché par la grâce. On est sur une terre d’accueil face aux intouchables en toile de fond : le Pic Long, le Campbieil, le grand et petit Astazou, les pics de La Cascade, le Marboré, le Casque et la Tour, le Taillon…
La plus haute cascade d’Europe, une montagne inscrite au Patrimoine Mondial de l’Humanité par l’Unesco…. Même si le spectacle est sensationnel au pied du cirque, je préfère voir le tableau au calme. Les points de vues ne manquent pas.
Le soleil entre deux série de nuages, l’une restée à l’est et l’autre venant de l’ouest, signe souvent des féeries printanières exceptionnelles. Les couleurs en deviennent surnaturelles sur le Piémont béarnais.
La cascade du Gros Hêtre aux Eaux-Bonnes donne toute l’année des spectacles bien singuliers. Le Valentin est, au mois de mai, au sommet de sa gloire. Ses eaux tumultueuses, chargées de cristaux de glace et de roche, émerveillent la flore environnante.
“Il fait toujours beau au-dessus des nuagesMais moi, si j’étais un oiseau, j’irais danser sous l’orageJe traverserais les nuages comme le fait la lumièreJ’écouterais sous la pluie la symphonie des éclairs” Zaho de Sagazan
La magnificence de la vallée d’Ossau n’est pas une surprise, surtout sous la brillance et l’éclat d’un lumière printanière. Les verts forcent le respect d’une nature travaillée et protégée. De Bilhères à Castet, après avoir vu le soleil se lever sur les hauteurs du Bénou, le ciel est resté somptueux.
Les paysans dessinent nos paysages, quelque soit le lieu où ils travaillent. Sur les piémonts du Béarn, de la Bigorre et du Pays Basque, on a parfois de véritables tableaux de maître…
Un grand espace s’ouvre devant nous. Le pic du Midi de Bigorre est bien lointain depuis ce point de vue sur les hauts du Chemin Henri IV, qui relie Pau à Lourdes, sur les coteaux du Pays de Nay.
Le belvédère de la vallée d’Ossau. Juste au dessus du lac de Castet, on aperçoit en enfilade Bielle, Gère-Bélestin, Aste-Béon… et au dessus, le Moulle de Jaout, le pic de Ger, le pic d’Ossau, les Cinq Monts, le Lauriolle…
C’est le slogan proposé pour le site internet de la ville de Laruns il y a quelques années. Il faudrait deux vies pour découvrir toutes les richesses naturelles et culturelles de cette commune.
Au pied de l’Auriole et du Rocher d’Aran, juste sous le plateau du Benou, Bilhères est sur la route du col de Marie Blanque. Ce petit village perché au dessus de la vallée d’Ossau est toujours baigné d’une bienheureuse lumière.
Mon coeur balance entre les deux Génies, deux rivières amazoniennes dans le massif du Pibeste à Saint-Pé-de-Bigorre. J’explore souvent les deux en passant par la Grotte de Castets.
De la sombreur à l’éblouissement, de l’inquiétude à l’enchantement…comment une atmosphère peut elle se métamorphoser en quelques minutes ?
Un mois d’avril 2024 bien singulier. Intense et immense dans sa diversité.
Le point de vue le plus proche de la rue des Pyrénées. Le chemin Allias, la maison Vagué et le Gabizos flamboyant en arrière plan.
Depuis les hauteurs d’Asson, au carrefour des lumières, on aperçoit les vallées heureuses des basses Pyrénées illuminées par les soleils couchants… Ossau, Aspe, Barétous, Soule… cela sent les foins qui viennent d’être ramassés avant l’arrivée de la pluie.
Une escapade d’Arthez d’Asson à Arbéost, entre Occitanie et Aquitaine, entre Ferrières et Louvie-Soubiron. Cette rivière n’a que des frontières administratives. La féérie du printemps est au rendez-vous chaque année dans cette vallée sauvage.
